Planète Centrale
Je suis super heureuse d’avoir reçu ce service presse. Planète Centrale, de Yaël-July Nahon.
Super heureuse, pour plusieurs raisons. La première est que j’aime lire. La deuxième est que j’aime la Science-Fiction La troisième est que j’ai réalisé un MOOC sur la Science-Fiction (à ce propos, je vous le conseil, il aura lieu l’année prochaine, parce que je crois que cette année, c’est clos : le lien ici). La quatrième, et pas des moindres, parce que j’aime, que dis-je, j’adore les écrits de Yaël et aussi sa personnalité.
Alors, qu’est-ce que ça raconte, Planète Centrale ?
C’est l’histoire de Aya Stilstone. Aya est grade 4 (G4). Elle conduit un vaisseau-déchets. le 55 B. Son vaisseau. Elle est seule, et elle est bien. Elle est une des rares G4 à conduire ce genre de vaisseau; normalement, ces métiers sont pour des grades inférieurs, qui n’ont d’ailleurs pas les mêmes privilèges, les G3. Mais son travail plait à Aya, sa solitude aussi.
Elle sera étonnamment attaquée par des vaisseaux de guerre, mais sa maîtrise du pilotage qu’elle prendra en manuel et son sang-froid lui vaudra de ramener son vaisseau. Elle ne savait pas obéir docilement, il lui fallait les raisons et y mettre les formes.
Son vaisseau sera rapidement, même trop rapidement réparer, pendant qu’Aya sera convoquée par les Hors-Grades. Déjà 23 vaisseaux ont été arrangués. 23 capitaines relâchés. Mais personne et encore moins Aya n’était au courant … Sauf les Hors-Grades.
Alors, devant eux, elle réclame à passer G5. Et on lui accorde. G5 … une nouvelle vie. Plusieurs avantages supplémentaires…
Mais l’histoire va continuer. En effet, le code 21 a été déclenché, et Aya à peine repartie, va découvrir une autre vie, celle désirée par la Planète Centrale et dominée par Shamgar, le corsaire. Mais aussi, de nouveaux peuples, de nouvelles planètes …
Ce que la Muse en pense :
Un très bon livre de Space Opéra. J’adore. Je me suis immédiatement plongée à l’intérieur, et ai retrouvé les séries de mon enfance, et les très bons films actuels également. Très bien écrit. On passe de surprises en surprises (c’est aussi pour cela que je ne vous raconte pas tout). Il y a, comme souvent dans les récits de SF, une ressemblance étonnante avec certains Etats ou Pays. Serons-nous comme cela plus tard ? Sommes-nous déjà comme cela aujourd’hui ?
En tout cas, ce roman se lit d’une traite, on se prend vite au jeu de l’héroïne et de la façon dont les grades existent, on découvre au fur et à mesure, non seulement les qualités de pilote et le caractère bien affirmé de l’héroïne, mais aussi, la façon dont est gouvernée la Planète Centrale, le système de promotion des grades, les montres de reconnaissance …
Pour conclure :
Un dès bon roman de Science-Fiction, parfaitement maîtrisé tant dans l’écriture que dans l’histoire. A lire de toute urgence, sans hésiter (surtout qu'il y aura une suite ;) ).
La Muse, héroïne elle-aussi de Space Opéra |
nb : cette chronique a été réalisée (en retard, trèssss en retard) dans le cadre d'un service presse.
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