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jeudi 21 avril 2022

52 cartes pour explorer l'espace, mon dernier ouvrage chez 365 Editions, Caroline Hesnard aux illustrations

Vous aimez le spatial ? 

Tant mieux, vous êtes sur la bonne page.


Mon dernier ouvrage "25 cartes pour explorer l'espace" vient de sortir chez 365 Editions, l'extraordinaire Caroline Hesnard aux pinceaux.


Pour devenir incollable sur l'espace.

Le principe est tout simple : 52 cartes, à garder avec soi, pour comprendre tout ou presque du spatial: les planètes, le système solaire, Thomas Pesquet, Claudie Haigneré, les animaux dans l'espace ... le tout magnifiquement illustré.


Un nouveau format augmenté ! 52 cartes pour tout connaître de l'univers si mystérieux de l'espace. Un petit format ludique et pratique, pour que l'enfant puisse l'emporter partout avec lui ! Un nouveau format agrandi d'un cm par côté pour plus de lisibilité. 

(je confirme, c'est plus lisible,et je rajoute concernant l'espace que même les plus grands peuvent apprendre des trucs, alors, n'hésitez pas)


4e de couverture : 

"Tu as toujours la tête dans les nuages ? 
Tu n'as pas les pieds sur Terre, tu préférerais marcher sur la Lune ? 
La Station spatiale internationale te fait rêver ?
Alors, ces 52 cartes illustrées sont faites pour toi !
Pioche une carte et découvre ce qu'est une planète tellurique, rencontre le premier animal à être allé dans l'espace et apprend même à devenir le prochain Thomas Pesquet !

Dépêche-toi, la NASA n'attend plus que toi pour embarquer dans sa prochaine mission !"

Un chouette cadeau pour les petit.e.s (et grand.e.s) curieux et curieuses.




En vente sur le site de l'éditeur, dans toutes les (bonnes) librairies et si vous habitez vers chez moi, j'en ai quelques exemplaires aussi. 



mardi 2 novembre 2021

Une anecdote spatiale par jour : sortie de mon almaniak le 5 novembre

Tellement fière de vous annoncer la sortie de mon prochain ouvrage, "les secrets du ciel et de l'espace" disponible dès le 12 novembre


Des mois de travail, des nuits sans sommeil, tout cela réuni dans un bel (un magnifique) ouvrage qui vous permettra de (re) découvrir l'espace, que vous soyez fan ou non, je vous promets que vous allez découvrir plein de choses.

J'ai bossé, j'ai cherché, je vous ai trouvé une anecdote spatiale par jour (une le week-end). Tout cela réuni dans un splendide Almaniak aux Éditions 365, que je remercie sincèrement pour leur confiance.

Les Almaniak, c'est une marque déposée. Et je vais vous dire, je n'ai jamais été aussi contente parce que c'était un souhait de réaliser quelque chose qui vous accompagne toute l'année. Et c'est chose faite. 

C'est vraiment un chouette cadeau, pour les autres ou (et ?) carrément pour soi.
Pour le commander ? C'est simple. Il est diffusé France entière (moment d'hyper fierté), donc, oui, vous allez le retrouver dans toutes les bonnes librairies, qui en font une super promo depuis déjà un mois (je suis hyper hyper heureuse)

(là, j'ai fait une copie écran, mais il est aussi au Furet du Nord, mais aussi dans votre petite (ou grande) librairie, je vous dis, il est partout. Envoyez moi des photos, je les publierai !)

Ou alors, directement sur le site de la maison d'édition. Regardez, je suis dans les nouveautés (trop fière)


Alors, il y a quoi, dedans ? Du spatial, bien évidemment. Mais pour tous et toutes. Sincèrement, je pense que vous allez apprendre plein de choses et vous régaler.
Dedans, je parle des astronautes français, bien évidemment, mais aussi de plan de secours "au cas où", des conversations lunaires, de la Station Spatiale Internationale, de l'artiste Jeanne Morel, ... Mais chut. Je vous laisse le découvrir, il vous appartient à présent, et est à un tout petit prix (11,99 €).

Ce n'est pas fait exprès, mais la date de sortie coïncide (presque) avec celle du retour de Thomas Pesquet ...

N'hésitez pas à m'envoyer des photos ;=)
Et encore un grand merci à vous pour me donner tellement de bonheur

Spatialement vôtre

nb : si vous souhaitez une dédicace, je serai au salon Fantasy en Beaujolais les 13 et 14 novembre à Saint-Didier-sur-Chalaronne. L'almaniak sera sur le stand du libraire où vous pourrez l'acheter. Et si vous ne pouvez pas attendre et l'achetez avant ? Passez quand même. Je vous le dédicacerai avec grand plaisir.

mercredi 23 décembre 2020

Elle conte l'espace aux enfants ... et aux plus grands (merci à La Voix de l'Ain et à sa journaliste)

Coucou vous tous et toutes !!!

Je ne sais pas ce que le Père Noël vous apporte, mais en ce qui me concerne, c'est un très bel article dans l'édition du 25 décembre du journal La Voix de l'Ain (en vente dès le 24 décembre, et sur le site du journal).






Vous pouvez lire le début de l'article en cliquant ici :

Elle conte l'espace aux enfants ... et aux plus grands

L'ouvrage, "Dis, raconte-moi l'espace !" est issu d'un travail collaboratif et a été remarqué par l'astronaute Claudie Haigneré.  


Photo extraite du site Space Quotes - Souvenirs d'espace

Une grande fierté

Je suis très fière de ce que nous avons tous réussi à mettre en commun pour un livre pratiquement 100% aindinois (il faut le dire). C'est un travail d'équipe, comme dans le spatial. 

Un très grand merci à Marine Chevrel, journaliste à la Voix de l'Ain, pour sa gentillesse, ses questions, sa curiosité pour le spatial. Encore une très belle rencontre pour votre Muse.

Et toujours un grand merci à tous ceux et toutes celles qui me soutiennent depuis le début, mais aussi à tous ceux et toutes celles qui ont rejoint l'aventure. Je vous surkiffe (oui, j'ai le droit de dire ça).


Lire l'article de la Voix de l'Ain

Pour lire l'article de la Voix de l'Ain en entier, il faut bien évidemment acheter le journal, qui sera disponible à partir du 24 décembre (2020) chez votre buraliste. Si vous manquez le coche, il est possible de l'acheter sur le site du journal (merci de continuer à faire vivre la presse écrite en ne copiant pas les articles, même si ça fait plaisir à l'égo, c'est interdit).

C'est l'édition Dombes et il faut cliquer ici : 

je clic ici parce que je veux acheter le journal pour lire le fabuleux article


Commander le livre

Si vous voulez commander mon livre, il est disponible dans toutes les bonnes librairies (si, par malheur, elles ne l'ont pas, elles peuvent le commander, il est très bien référencé)

Vous pouvez également m'écrire directement à cette adresse mail : 

Je commande directement auprès de la Muse




Je vous souhaite de passer d'excellentes fêtes.

Prenez soin de vous et de ceux et celles que vous aimez.

On se retrouve très vite pour de nouvelles aventures spatiales !!! 

(j'ai une petite surprise pour vous)


La Muse,

Spatialiste

lundi 19 mars 2018

"Elle s'appelait Hope" (petite nouvelle en cadeau /droits réservés)

"Elle s'appelait Hope" 

Il était une fois …

Une jeune fille, qui habitait dans un beau pays. Le pays des livres et des contes, des histoires et des merveilles. Du réussir toujours et de l’espoir.

Elle s’appelait Hope. Hope, en anglais ça veut dire espoir.

Elle rendait des services à tout le monde. Sans contrepartie, comme ça. Tout simplement parce qu’on lui avait appris l’amour, la générosité, la passion des autres et le respect.

Elle rendait des services, sans rien attendre en retour. Elle trouvait cela tellement normal. Et, en grandissant, elle continua.
Aider, expliquer, ré-expliquer …
Pas pour être bien vue, ou pour avoir une place gratuite à un endroit, non, tout simplement parce qu’elle aimait les gens, et qu’elle trouvait normal que chacun aide son prochain.

Un jour, comme toutes les jeunes filles de son âge, ses parents lui achetèrent un smartphone. Elle était heureuse. Elle allait enfin pouvoir échanger avec ses ami.e.s, mais aussi avec le monde entier. La vie était belle.

Et Hope continuait à donner. Bénévole au sein d’une association, elle donnait sans compter, on pouvait toujours lui demander un service.
S’il y avait besoin d’aller chercher un dossier, Hope était là.
S’il y avait besoin de nettoyer avant le grand spectacle, Hope était là.
S’il y avait besoin de guider les gens, Hope était là.

En fait, Hope répondait tout le temps présente, car elle aimait les gens. Mais les gens ne l’aimaient pas. Ils avaient vite compris qu’ils pouvaient se servir d’elle, et que cela ne leur coûterait rien. Alors, ils lui demandaient des services. Oh, pas des gros, mais quand même :
-        Hope, il faudrait faire ci. – Mais oui, répondait-elle, toujours souriante.
-        Hope, il faudrait tenir une permanence. – Avec plaisir, souriait la dévouée jeune fille.
-        Hope, tu peux nous héberger pour une nuit ? Ca ne l’arrangeait pas trop, mais la jeune fille pensait que l’amitié était importante. – Et bien oui.
-        Hope, comment as-tu fais pour réussir ton exposition ? –Je n’ai pas trop le temps de vous répondre, c’est le Vernissage, mais je vais le prendre.

Et de fil en aiguille, de questions en réponses, de demandes présentées gentiment, Hope étaient toujours là.

Mais un jour …

Un jour, Hope ne se sentit pas bien. Alors elle consulta. Mais elle n’avait rien. – Vous êtes juste un peu fatiguée, retournez travailler, lui lança le médecin. Hope retourna travailler, et rendre service, comme elle avait l’habitude de le faire. Sourire, être gentille, accueillir, c’était bien cela la vraie amitié.

Mais la santé de Hope continua de décliner. Alors, elle retourna voir le médecin. Qui l’envoya voir un autre médecin, et encore un autre médecin. Bientôt, tous les spécialistes étaient réunis pour dire que Hope était bien malade, qu’elle n’en mourrait pas, mais que sa maladie la rongerait, l’épuiserait, lui apporterait des souffrances, et surtout, ne guérirait jamais. Hope était catastrophée. Elle souffrait tant. Elle n’y arrivait plus. Le moindre effort lui prenait ses journées, comme un diable caché qui n’attendait que cela pour attaquer.

Un jour, un super ami lui dit en la vouvoyant : « vous n’avez pas le monopole de la douleur, vous savez, Hope ». Elle ne comprit pas. Comme elle souffrait le martyre, elle préféra ne pas répondre, en se demandant bien pourquoi ce super ami « à la vie à la mort » comme il l’avait dit se mettait à la vouvoyer. Mais qu’importe, elle devait prendre soin d’elle. Ce n’était donc peut-être pas un si bon ami.

Un autre jour, elle découvrit ce message étrange : « Je n’ai rien contre toi. Mais je suis obligé de mal te parler sur les réseaux sociaux ». Hope était anéantie. Comment pouvait-on être réduit à être obligé à mal parler à une personne. Elle posa la question à son compagnon, qui comme elle, resta sans réponse.
Alors, elle laissa.

Hope avait des tas d’amis à qui elle avait rendu des petits comme des grands services. Comme elle le disait toujours, sans rien en attendre en retour. C’est normal, nous sommes amis.

Et pourtant, le jour où sa santé commença à décliner, même les plus proches de ses amis ont abandonné Hope, parce que ce jour-là, elle n’était plus intéressante, elle ne servait plus. Oh, bien évidemment, on ne lui dit pas comme cela, mais c’était pareil.  

Ca a commencé par l’amie qu’elle allait voir tous les jours, qu’elle avait tant soutenue lorsqu’elle était malade, qu’elle avait même remplacée au pied levé pour une organisation. Elle avait tant donné pour elle. Elle avait même rejeté d’un coup les critiques que certains lui adressaient, en protégeant son amie. Du jour au lendemain, celle-là même à qui elle avait tant donné, l’a rejetée. C’était bien plus facile. Malade, Hope ne lui servait plus. Elle ne pouvait plus lui rendre les services qu’elle lui rendait avant, et qui l’aidait dans sa promotion.

Ce jour-là, personne ne dit rien. Hope eut un voile noir devant ses yeux.

Ensuite, ce fut le cas d’une amie, à qui Hope avait remonté le moral, qu’elle avait même aidé pour des corrections et qu’elle avait soutenue lors d’un différend. Et bien le croirez-vous, lorsque Hope fut malade, et en moins de temps qu’il n’en eut fallu pour cligner de l’œil, Elle se retrouva larguée, rejetée, éloignée. Le pire, c’est que par la suite, elle apprit que son ancienne amie continuait à baver sur elle, afin qu’elle soit rejetée par le plus grand nombre. Mais que lui avait-elle donc fait ? Hope ne souffrait-elle pas assez ?

Là encore, personne ne dit rien. Le voile noir était bien là.

Un autre, qui lui promis de l’emmener quand elle le souhaitait à l’hôpital, parce qu’il était son meilleur ami, l’abandonna de la même manière. Elle ne servait plus à rien, pourquoi s’en occuper ?

Toujours, personne ne dit rien. Le voile devint de plus en plus noir.

Hope accepta d’aider à une organisation, même prévenue au dernier moment, parce qu’elle aimait ce qu’elle faisait. Malgré la maladie, les douleurs et l’épuisement, elle tint bon, et prépara comme il le fallait. Malgré des larmes de désespoir, elle était fière de ce qu’elle réussit à présenter. Mais c’était trop beau. Personne ne voulait d’elle. Elle ne devait plus réussir. Alors, on chargea un illuminé de lui adresser des messages odieux, lui écrivant même qu’elle allait se faire détester par tous. Hope ne répondit plus aux messages. Malgré les promesses, elle ne fut jamais recontactée.

Là encore, personne ne dit rien. Le voile s’assombrit de plus en plus.

Hope fatiguait de plus en plus. Elle réussit quand même, malgré les coups et les mesquineries, à percer. A réaliser son rêve, enfin. Mais cela ne devait pas durer. Elle n’avait pas le droit d’être heureuse. Même un peu.

Alors, pour la punir, ses amis n’eurent d’autres raisons que de ne pas poser la question de son absence lors d’un évènement près de chez elle. Oh, elle aurait tant voulu y être. L’objet de ses rêves y était. Mais pas elle. Il ne fallait pas qu’elle y soit. Et puis quoi, encore, une handicapée ? Il était hors de question qu’elle réussisse à percer. Les personnes handicapées, on veut bien en parler, mais on ne veut pas les voir. Surtout pas.

Là encore, personne ne bougea. En même temps, il ne restait plus grand monde…

Ou presque.

Parce que dans les proches de Hope, quelques voix s’élevèrent, devant l’absurdité de son absence. Quelque uns osèrent poser des questions. Quelque uns demandèrent pourquoi.

Enfin, on la voyait comme elle était, une fille pleine d’espoir et généreuse et non pas comme un larbin au service des autres.

Hope mit du temps à s’en remettre.

Elle fit comme on lui avait appris. Du tri et encore du tri.
Elle apprit à ne plus faire confiance, disons, à moins faire confiance.  
Elle apprit à ne plus recevoir et tant donner, ou moins.

Elle eut mal, très mal. Car elle n’avait pas l’habitude. Même si ce n’était pas la première fois.

Mais, comme son prénom, elle était emplie d’espoir et elle continua encore et encore de donner, comme ça, pour rien. Juste parce qu’elle aimait ce qu’elle faisait.

Et ça, personne ne pouvait lui retirer.   
Elle s’appelle Hope. Hope, en anglais ça veut dire espoir.



Copyright Plum’2 Muse. 19 mars 2018.  
Tous droits réservés.     

Ceci est une fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ne serait que le fruit de votre imagination... ou pas