vendredi 26 mai 2017

"Merci mon père" un parcours de vie dans la Loire (1940-1970) de Jean-Louis Gay



« Merci mon père » de Jean-Louis Gay. Editions les Passionnés de Bouquins.

« Merci mon père » est une très belle découverte et je remercie sincèrement les éditions Les Passionnés de Bouquins pour ce très bel SP.

En effet, vous ne le saviez peut-être pas, mais mes grands-parents ont habité st-Etienne, dans la Loire, donc. Aussi, j’ai retrouvé beaucoup de belles choses de mon enfance avec ce magnifique témoignage que l’auteur a voulu laisser à son père.




Une histoire d’amour qui lui a été cachée, celle, réelle entre sa mère et son père. Mais pourquoi a-t-elle été cachée ? Vous le découvriez en lisant le livre.

Il est très beau. La description de l’enfance et du dur labeur du père est merveilleuse. La nouvelle habitation, l’ascension sociale, les découvertes …

Mais aussi, à Firminy, le moment où l’enfant découvre que son père participe à la bonté, aux œuvres sociales, sous forme indirecte, bien évidemment, mais en faisant en sorte que chacun, riche ou pauvre, puisse profiter de chaque instant important de sa famille.

Et ce père fera tout, tout pour que sa famille ne manque de rien. Après la vente de son magasin, et des problèmes bancaires liés, il travaillera deux fois plus afin que son fils continue sa scolarité dans l’école privée où il est inscrit.

On sent beaucoup d’émotion dans les descriptions, pour moi qui ai connu le département, j’avoue que certains noms m’ont fait frissonner…

L’histoire de Jean est belle. Elle est non seulement belle, mais elle est rayonnante, simple de beauté et extrêmement bien décrite. C’est un régal que je vous recommande. Ce n’est pas seulement l’histoire d’un père et de son fils, mais aussi le rappel de toute une vie, de plein de vies. C’est beau, vraiment beau.

« Merci mon père » et Merci à Jean-Louis Gay pour ce magnifique témoignage.

Cette chronique a été réalisée dans le cadre d’un service presse (SP). Merci aux Passionnés de Bouquins pour ce bel envoi. 


La Muse, nostalgique ;)

jeudi 25 mai 2017

The Muse's Pokorettes !!!

Coucou !!! Comme vous le savez, la Muse est partout, et même là où on ne l'attend pas !

Avec un super service d'ordre qui nous a rassurés (remarque, heureusement que je n'ai vu le journal à la télé QUE le lendemain, sinon, j'avoue, je n'aurais été aussi zen), on est partis à quatre rencontrer .... M. Pokora. (Ouiiiiiiii, j'assume mon côté groupie et je vous mets même le lien vers son site officiel : clic ici pour aller sur le site officiel de M.Pokora).

Au début, c'était pour faire plaisir à Mini-Muse (cadeau).

Mais bon, avec Henry, mon gone à moi, que je vous ai déjà présenté puisqu'il travaille pour un super bouchon lyonnais (clic ici pour découvrir Le Chabert Bouchon Lyonnais vu par La Muse), et Marie Garnier, une super auteure jeunesse qu'on ne présente plus (mais si besoin, clique ici : à la rencontre de Marie Garnier), on a emmené Mini-Muse voir son idole.

Et le jeune homme est généreux. Et en concert, et ailleurs. Son concert ? Un petit bijou, réglé au millimètre, style show à l'américaine. Il y avait même des effets pyrotechniques (pour dire !!!).

Bref, les groupies que nous étions ont bien chanté (tu penses bien, Cloclo, on est fans), certains ont découvert des titres, et en cadeau, je vous poste un peu de bonheur, parce que ça fait toujours du bien, surtout ces temps-ci.

Clique pour apprécier le bonheur en cadeau :




Pour résumer, un grand, un énorme merci à M.Pokora pour tout ce bonheur !

J'en profite pour remercier la Halle Tony Garnier pour son accès handicapés, qui permet à tous (même fatigués) d'aller à un concert. Je n'aurais jamais pu sinon. 

Et puis, un grand merci au taxi (qui a fait 2 aller-retours dans la soirée. Il aurait mieux fait de venir au concert, tiens !).

Merci, M. Pokora, c'était génial !!! On était des Muse's Pokorettes, ce soir-là !!! 




Les Muses,
Muse's Pokorettes, ravies

dimanche 21 mai 2017

Il était TROIS fois ... 3 belles rencontres samedi 20 mai à la FNAC Belleville

Ce samedi, à la FNAC Belleville, c'était super sympa. En effet, il n'y avait pas un, ni deux, mais bien trois auteurs qui étaient présents pour dédicacer leurs livres.

Et La Muse était bien évidemment de la partie (ben oui, hein !).

Alors, voici le petit reportage photo, les vidéos arrivent très vite sur la chaîne Youtube de la Muse que vous pouvez retrouver en cliquant sur ce lien : (et profitez-en pour vous abonner !). 




Qui y avait-il donc à la FNAC ? Réponse, en images :


3 auteurs au top : Ryrah, Roland Fuentès & Noël Gulliard
(Merci à Noël pour la photo)

C'et pas beau, ça ?
Non mais, j'suis complètement fan !!!

Elle est magnifique, cette dédicace pour Mini-Muse

Mini-Muse annonce : tadaaaa : Roland Fuentès !

Roland Fuentes & La Muse

Noël Guillard, un coeur gros comme ça !
(et en plus, il écrit bien, là, il m'écrit une adorable dédicace).


Un grand merci à l'équipe de la FNAC Belleville pour son accueil et à ces trois Artistes pour leur bonne humeur ! 

mercredi 17 mai 2017

Chronique : "L'Abominable Ours Câlineur" de Clémentine Ferry & Sabrina Moguez chez Nats Editions

Aujourd'hui, je vous propose une chronique pour les petits et les grands, avec tadaaaa :

"L'abominable Ours câlineur" 

de Clémentine Ferry & Sabrina Moguez.  Nats Editions.

Le titre est bien non ? L’abominable Ours Câlineur. Comme si un ours câlineur pouvait être abominable. 

L’histoire ? Elle se passe en Irlande. Beau Pays, de traditions. Vous découvrirez pourquoi à la fin de la chronique. 
  
L’histoire fait la part belle aux rêves, puisqu’elle commence comme un conte, avec le fameux ... « Il était une fois ». 

Alors, il était une fois ... une forêt, où on ne s’attarde jamais. Pourquoi ? Parce qu’elle est peuplée de harpies. Des harpies ? Qu’est-ce donc ? Nonnn, ce n’est pas La Muse lorsqu’elle est en colère (La Muse n’est JAMAIS en colère, qu'allez-vous donc imaginer !).  

Donc, les harpies, kézaco ? ce sont des tourmenteuses d’âmes, qui se nourrissent de la peur des hommes. Oups. Heureusement, elles n’attaquent pas les hommes … Sauf peut-être ... la jeune Darla, qui en prendrait bien un pour le dessert. 

Alors, elle se fait gronder. Mais c’est plus fort qu’elle, elle ne peut résister. Mais un jour, elle va aller à la rencontre des hommes, ou plutôt des petits d’homme. Et elle va tomber non pas sur un os, mais sur .... l’Abominable Ours Câlineur. 

Ce que La Muse en pense 

J’adoooore. Et je vais vous dire pourquoi (c’est le but d’une chronique de Muse, en même temps) : D’abord, parce que les illustrations sont toutes réalisées en doubles pages, ça rend bien, vraiment bien. De son côté, la Belle Page recueille également le texte, ce qui permet de lire le texte, puis d’avoir un regard supplémentaire sur l’illustration, qui, bien qu’existante sur la page du texte, est magnifiée sur la page de gauche. Le lecteur narrateur devine ainsi la beauté de l’histoire, après l’avoir lue. Quant au lecteur iconique (le jeune lecteur, celui qui écoute), il voit en premier lieu l’image, qui va l’emporter, et il écoutera par la suite le texte. 

C’est vraiment un bel ouvrage. 

Concernant le mythe (est-ce un mythe d’ailleurs ?), tout est (sérieusement) expliqué à la fin du livre. C’est d’ailleurs pour cela que l’intrigue se situe en Irlande, vous vous souvenez, je vous en ai parlé. 

Enfin, et c’est bien là le principal, je trouve que cet Abominable Ours Câlineur fait exactement la fonction qui lui est accordée. Et c’est génial. Vous voulez en savoir plus ? Lisez le livre !

Un très bel ouvrage signé Clémentine Ferry & Sabrina Moguez chez Nats Editions


Partenaire Nats Editions. Merci pour le SP.

Retrouvez le ici : http://www.nats-editions.com/produit/labominable-ours-calineur/


ou en commande chez votre libraire.

mercredi 3 mai 2017

"Je suis un tueur humaniste" David Zaoui

Breaking News : David Zaoui, auteur de "Je suis un tueur humaniste", précédemment chroniqué par votre Muse préférée, est lauréat du festival du premier roman de Chambéry !!

Waouuuu !!! Bravo à lui. 
Plus de détails (et pour le rencontrer, il y sera présent du 24 au 27 mai 2018), en cliquant sur ce lien : David Zaoui, lauréat !

Pour relire la chronique, c'est ci-dessous : 

Je suis un tueur Humaniste. David Zaoui. Editions Paul & Mike.




« Je suis un tueur humaniste» est le premier roman de David Zaoui.

Et je vous avoue que quand je l’ai découvert, j’ai eu un doute, vite relevé d’une grande curiosité : Et oui, nous sommes bien d’accord, pour avoir lu de nombreux livres et visionné nombre de films sur le sujet et sauf erreur de compréhension, les mots « tueur » et « humaniste » ne vont pas ensemble (on est bien d'accord). Ou alors, il y a quelque chose qu’on ne m’a pas dit.

Alors, en bonne Muse qui se respecte, j’ai lu le livre de David Zaoui. Et je n’ai pas été déçue.

L’histoire ? C’est celle de Babinsky. Il n’a pas d’autre état civil. Il est doué, très doué. Mais doué en quoi ? En tir, c’est le meilleur, et c’est d’ailleurs comme cela qu’il va se faire repérer, remarquer et … engager.

Il s’appelle Babinsky. Retenez bien ce nom, c’est celui du héros. C'est un tueur. Tueur, oui, mais humaniste. 

Alors, vous allez me dire ? Mais comment peut-on concilier les deux ? Grâce aux "contrats" qu'on lui propose et surtout, surtout, à sa "marque de fabrique". En effet, le héros, qui a été repêché par son mentor, fera en sorte de rendre les gens heu-reux (attention, le vrai bonheur, pas un petit bonheur qui passe par là), et de s’en assurer avant qu’ils ne quittent ce monde. 

C’est un héros qui ne dort pas, qui se pose des questions (oui, quand on ne dort pas, on a le temps de réfléchir), et qui, on le découvrira au fur et à mesure de l’intrigue, cherche également le bonheur.

Le trouvera-t-il ? Ou sera-t-il la proie d’un autre tueur ? Ca, c’est à vous de le découvrir.


Ce que La Muse en pense :

Comme je l’ai noté au début, j’ai souhaité lire le livre car le titre était très intrigant. La couverture également. Et David Zaoui a réussi son pari. Son livre est agréable à lire, il n’y a pas de cruauté (bon, des gens meurent on l’aura compris, mais attention, on est bien d'accord, cela reste un roman) et finalement, le lecteur s’attache à Babinsky en espérant qu’il trouve une meilleure voie et qu'il apprenne également des autres.

Ce roman se lit d'une traite avec grand plaisir. 


La forme du roman permet à l'auteur de rendre son héros très attachant, malgré certains écarts de langage, totalement réalistes vis-à-vis des protagonistes.

A noter que l’avertissement de l’auteur m’a bien fait rire (vous ne croyez quand même pas que je vais vous le noter ... Allez, faut lire à présent, vous allez vous attacher à Babinsky).



La Muse, juste humaniste