vendredi 23 décembre 2016

3 minutes chono avec Edmond !

 
La Muse & Mini-Muse
Edmond, on l'adore !
 

Plein de vidéos pour les fêtes !

Pour ceux qui n'ont pas Facebook, La Muse et Mini-Muse vous proposent plein de vidéos pour les fêtes. Nous, on se met en période "repos - lecture - et cadeaux".

Et on se retrouve en 2017. D'ici là, soyez sages !!!

Des bisettes (et n'oubliez pas de lire).

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Voilà, belles découvertes !!!
 
On se retrouve en 2017 !!!
 
La Muse & Mini-Muse,
festives
 

jeudi 22 décembre 2016

Des livres de Noël en 3 minutes chrono !

A découvrir ou redécouvrir !!!
 

La Muse et Mini-Muse

Des histoires en 3 minutes chrono, pour les petits !

Quelques belles histoires en 3 minutes chrono :


 
 
Muse et Mini-Muse,
conseillère jeunesse ;)
 

5 oiseaux dans le nid avec La Muse



Abonnez-vous à la chaine You-tube et / ou au blog de La Muse !!!

3 minutes chrono avec Zip et Théo

Aujourd'hui, les trois minutes chrono sont réservées à Zip le lutin et à Théo.

On vous laisse découvrir :

 
La Muse & Mini-Muse
(on adore !!!)
 

Des livres en auto-édition en 3 minutes chrono !

Pour changer un peu, aujourd'hui, en 3 minutes chrono, La Muse et Mini-Muse vous présentent quelques livres en auto-édition.

Avec Joëlle Vincent et Frédéric Blémond.

Pour écouter et regarder, c'est ici :

 
 
La Muse et Mini-Muse,
heureuses &
découvreuses de talents !
 

mercredi 21 décembre 2016

3 minutes chrono avec ... La Marmite à Mots

Dans la série, "3 minutes chrono", La Muse et Mini-Muse vous présente une marmite. Mais pas n'importe laquelle : La Marmite à Mots, une chouette maison d'édition avec de très belles valeurs (et donc, de très beaux livres).

On vous laisse regarder une petite présentation en ... 3 minutes chrono ! (il faut cliquer) :

 
 
La Muse et Mini-Muse,
bien lunées et ...
dans la Marmite :)
 

mardi 20 décembre 2016

Rencontre avec Joëlle Vincent

Au salon du livre de Chazay d'Azegues, on a (re) rencontré ... je vous le donne en mille ... l'adorable Joëlle Vincent.

Alors, comme La Muse est en retard, et qu'elle n'a pas eu le temps de chroniquer son livre, hop, interview !!! (j'suis comme ça, moi).

Découverte, ici (suffit de cliquer) :



La Muse, ravie


Balivernes Editions en 3 minutes chrono

Pour ceux / celles qui suivent La Muse (et ils sont nombreux), vous commencez à avoir l'habitude des "3 minutes chrono" avec La Muse, et aussi, avec Mini-Muse.

Aujourd'hui, Balivernes Editions en deux livres et 3 minutes chrono.

C'est ici qu'il faut cliquer :

 
 
La Muse, fantomatique ;)
 

lundi 19 décembre 2016

Des livres jeunesse en 3 minutes chrono

3 minutes chrono ! C'est le temps que nous nous sommes donné, avec Mini-Muse, pour vous présenter des livres, pour vous les faire apprécier, aimer ...

Nous espérons toutes les deux que vous appréciez ce concept.

En attendant, voici quelques livres, en 3 minutes chrono. La vidéo est ici :


 
La Muse et Mini-Muse
découvreuse de pépites !
 

dimanche 18 décembre 2016

Le tour de France de Gasparino en 3 minutes chrono

3 minutes chrono avec Gasparino et NLA Créations. Magnifiques histoires avec Elsa Faure Pompey et Amin Lebiad.
Allez hop, la vidéo, c'est ici :



La Muse et Mini-Muse, enchantée

Rencontre avec ... L.S. Ange

Si c'est pas une belle journée, ça !!! Ce dimanche 18 décembre, rencontre non pas avec un, mais deux auteurs d'exception. C'est aujourd'hui au Cultura de Villefranche, et c'est super sympa.

L.S. Ange et Didier de Vaujany sont présents jusqu'à 18 heures. N'hésitez pas. Personnellement, j'ai pris à L.S. Ange : "Supplice" (et j'ai eu une enveloppe avec des petits cadeaux dedans ... trop gentille !!! J'ai aussi pris un livre à Didier, mais je vous laisse découvrir lequel en regardant mes chroniques).

Allez, une 'tite vidéo (vous verrez, L.S. Ange nous explique très bien ses livres) :

 
 
La Muse, ravie
 

Rencontre avec ... Didier de Vaujany

Il y a des rencontres qu'on aime bien. Aujourd'hui (dimanche 18 décembre), La Muse, accompagnée de Mini-Muse et de son taxi est partie à la rencontre de deux auteurs.

Vous pouvez retrouver Didier de Vaujany et L.S. Ange au Cultura de Villefranche s/S.
Franchement, ne les manquez pas, ils sont adorables (et leurs livres aussi).

La Muse a d'ailleurs pris (de Didier) : Tryskellia - Manuscrit premier - le crépuscule des sirènes.


Allez, une 'tite interview :

 
 

La Muse, ravie
 

samedi 17 décembre 2016

Des auteurs en vrai, pour donner envie de les rencontrer encore plus ! Avec Sandra Garcia

Au salon du livre de Chazay d'Azergues, La Muse a rencontré plein d'auteur(e)s et d'illustrateurs (trices) super sympas, dont Sandra Garcia, qu'elle adore.

Et vous verrez, quand la fin de journée arrive, c'est extrêmement drôle (ça fait du bien !).

Dans cette vidéo, plein de petits messages subliminaux .... On y voit aussi l'adorable Catherine Quilliet, mais aussi, on parle de Marie Garnier, d'Elsa Faure Pompey de Jean-Marc Bassetti et de Rose Marie Noël Gressier ...

Allez, je vous laisse écouter :

 
 
La Muse, pliée (de rire) !
 

3 minutes chrono et 4 livres à découvrir !

A l'approche des fêtes (et même après), La Muse et Mini-Muse vous présentent quatre livres jeunesse (qui peuvent aussi être lus par des adultes), à dévorer, de toute urgence.

Cliquez pour la vidéo :

 
La Muse & Mini-Muse
 

vendredi 16 décembre 2016

A la rencontre de Marie Garnier

Ahhhh, Marie Garnier, si elle n'existait pas, il faudrait l'inventer.

Rencontre, lors du salon de Chazay d'Azergues !


(il suffit de cliquer).

 
 
La Muse, enchantée
 

jeudi 15 décembre 2016

Hugo est un super Héros : Laurence Perouème

Dans la série, "je reçois des livres magnifiques", je vous présente aujourd'hui, avec "Mini-muse", "Hugo est un super héros" de Laurence Pérouème et Alexandra Luchie, aux Editions du Ricochet, que je remercie pour ce magnifique SP (il suffit de cliquer, régalez vous !).

 
(juste une petite erreur à la fin, c'est Lulu qui part, pas son ami. Désolée de l'erreur).
 
La Muse et Mini-Muse, passionnées
 

Mélanie Lapipe au Salon Fantasy

Pour son premier salon, l'auteure Mélanie Lapipe a eu 1. le Salon Fantasy en Beaujolais (ce qui n'est pas rien, quand même !) 2. un interview avec La Muse en parle (mais que demande le peuple ?).

Et voici, voilà l'interview (il faut cliquer pour regarder et écouter).

 
La Muse, découvreuse de talents
 

mercredi 14 décembre 2016

Nathalie Janer, Illustratrice de (grand) talent

La Muse va vous présenter nombre de "3 minutes chrono" avec Mini-Muse (chouette, ravie, youpiii, youpla, joie et bonne humeur !!!).

Aujourd'hui, c'est la rencontre avec Nathalie Janer, illustratrice, dont on chronique, en "3 minutes chrono", quatre livres d'une excellente qualité !

Il suffit de cliquer ci-dessous pour écouter ! Régalez-vous !

 
 
La Muse & Mini-Muse
 

mardi 13 décembre 2016

"La vitre" Fabien Muller

Aujourd'hui, pour la Muse que je suis, est un anniversaire pas très drôle. En effet, cela fait 30 ans que j'ai perdu mon Papa. Je pense beaucoup à lui, il me manque énormément.  

Mais comme je chronique aussi, j'ai choisi (exprès, tu penses bien, ami lecteur, mais je ne te dirai pas pourquoi) "La vitre" de Fabien Muller. Si vous me permettez, je dédie cette chronique à mon Papa, parti trop tôt rejoindre les étoiles. Bisous, mon Papa adoré.



Let's go, donc, pour la chronique d'un livre surprenant, qui brise nos certitudes telle la vitre de son héroïne.

Pour écouter la chronique, il faut cliquer ici : La vitre en audio par La Muse

Pour la lire, ben c'est là :


C’est l’histoire d’Hélène, 28 ans, Hélène qui n’a pas trop le moral, et le lecteur va vite comprendre pourquoi. Née trop tôt, morte, re-née, placée en couveuse, re-morte, née donc plusieurs fois (si, si), on se demande même si elle a été désirée…

Sa vie-drame va donc se jouer pendant son enfance et son adolescence, racontée pourtant d’une telle façon qu’on en arrive à sourire : « si une ambulance passe dans le coin, cherchez pas c’est pour moi. »

Hélène a 10 ans quand elle va commencer à écrire, « fascinée que l’on puisse écrire des choses qu’on ne ressentait pas dans la vraie vie ».

Hélène traverse la vie comme elle l’a commencée, en regardant au travers d’une vitre, qui semblait la protéger parfois, et souvent pas : « je me cassais un os quelconque de l’homme dont le nom n’a été inventé que pour coller les étudiants en médecine ».

Elle travaille dans une bibliothèque, elle est « écrivain, ou plutôt écri-vaine », comme si tout ce qu’elle entreprenait était voué à l’échec. Elle fait également quelques piges pour des magazines féminins qui apparaîtront en interludes « vu de l’intérieur, c’est quand même pas terrible», avec Éric son patron, le « gourou » qui quand il parle « les femmes se taisent et les hommes acquiescent ». Hélène placera quand même deux chapitres sans numéro.

Interlude (car moi aussi, je sais faire) :

Quand on commence ce livre, et pour peu qu’on connaisse un peu l’auteur, on se dit qu’il y a mis une sacrée part de lui, mais au féminin. Mais ça, c’est juste quand on le commence. Parce que rapidement, le lecteur sera vite happé par l’excellente intrigue : ce n’est plus Fabien Muller qui écrit, c’est bien Hélène qui raconte son histoire. (fin de l’interlude).

Si jamais nous n’avions pas compris, Hélène n’est pas heureuse, et surtout, elle ne supporte pas les gens heureux. Elle ne fait que passer dans la vie, bien cachée derrière sa vitre, pour ne pas être trop vue et remarquée. Mais comme elle le précise « qui suis-je pour me juger ? ».

Et un jour, sa vie va basculer. Elle va rencontrer une petite fille. La fille de son voisin. Une petite avec de la répartie, ce qui va lui plaire, comme son voisin, d’ailleurs.

Le lecteur va ainsi écouter Hélène, dans ses péripéties, ses phases de construction, ou de reconstruction, ce passage obligé loin de cette vitre qui la protégeait, parfois.

Mais, d’un coup, la vitre va se briser, voler en éclats, en mille morceaux. Une vitrine, des bouts de verre, des pleurs, des peurs … Mais tout est si parfaitement et très subtilement emmené avec douceur ; cela ne fera qu’accentuer la violence extrême de cette brisure : « le chaos s’enroule autour de moi… mes sens me lâchent les uns après les autres ».

Hélène va devoir apprendre à survivre et pas seulement pour elle : « rien d’autre ne me retient que cette petite main dans la mienne ». Et sans faire d’effort (en tout cas, elle le pense), Helène va apprendre à (re)vivre : « donner sans attendre quoique ce soit en retour valorise l’image que j’ai de moi-même ».


Mais cette seconde partie sera étrange, ponctuée de rapports médicaux du passé, de vitres qui se brisent encore et encore… en éclats, en mille morceaux… de détresses, de découvertes, de questionnements ... Le lecteur va passer de la vie d’Hélène-dépressive à celle d’une héroïne qui va se battre pour non seulement comprendre le lourd secret que son amoureux lui a laissé mais aussi pour sauver une vie, qui n'est pas la sienne.
 

Fabien Muller signe avec « La vitre » un excellent thriller psychologique, promenant les mots au gré des pages, distillant les informations exactement au moment où le lecteur s’y attend le moins, brisant nos certitudes telle la vitre de son héroïne.

Je remercie son éditeur, Olivier Morattel, pour sa confiance et son envoi en SP, et bien évidemment, Fabien Muller, pour avoir réussi le tour de force d’écrire un thriller poignant, avec une pincée d’angoisse, une autre de rire, une troisième de courage, que j’ai eu un réel plaisir à lire.
 
"La Vitre" de Fabien Muller. Editions Olivier Morattel.
 

   

 

 


lundi 12 décembre 2016

Cédric Lavoine et Ribamboule : une très belle rencontre

En voilà une rencontre qu'elle est belle !

Samedi dernier, à Bourg-en-Bresse, grâce à l'aide de Lucile Dumont (qui a l'œil et que je remercie au passage), La Muse a fait une très belle découverte, avec Ribamboule et son auteur, Cédric Lavoine.

On lui a carrément bondi dessus (enfin, presque) pour réaliser une interview en ...

"3 minutes chrono". 
 
 
C'est ici et pas ailleurs pour la découverte (il suffit de cliquer). Régalez-vous !
 
 
 
Comme d'hab', adorable lecteur, La Muse te facilite la tâche et te met les liens (il suffit de cliquer). Non, ne me remercie pas, je sais, j'suis trop sympa.
 
La Muse, ravie de sa découverte
 


dimanche 11 décembre 2016

Rencontre avec Fabienne Blanchut

Super rencontre, exceptionnelle, puisque La Muse (la chroniqueuse jeunesse de référence) a rencontré (joie, bonne humeur et tout le tralala), attention, roulement de tambour :

Fabienne Blanchut

pour la sortie de son premier roman : "1749 Miles", que l'on a rêvé ici : clic.

Une très, très belle rencontre (bien que trop courte), qui a eu lieu le lendemain de la sortie de son livre, à la Librairie du théâtre à Bourg-en-Bresse.

Pour écouter Fabienne, il suffit de cliquer (bon, ok, ça dure un peu plus de 3 min, mais bon ... it's Fabienne Blanchut, quand même !!!). Régalez-vous !!!

 
La Muse, en apesanteur
 

samedi 10 décembre 2016

3 min chrono : rencontre avec Lucile Dumont

"3 minutes chrono avec La Muse" et aujourd'hui, rencontre avec Lucile Dumont et "Loup Rouge" (et elle va vous parler de projets, et de plein de trucs sympas... Faut regarder, ça dure ... 3 minutes ;) Il suffit de cliquer sur la vidéo ).

 
 
La Muse, enchantée
 

vendredi 9 décembre 2016

Azuro et le défi du Père Noël

La Muse a décidé de vous gâter, avec une nouvelle formule, "3 minutes chrono".
Qu'Est-ce que c'est donc ?


Tout simplement, la présentation d'un livre en "3 minutes chrono" (ce qui n'est pas chose aisée, pour La Muse, mais elle va y arriver ! Et que ne ferait-elle pas pour vous faire plaisir).

On commence ces "3 minutes chrono avec La Muse" avec (tadaaa, joie, bonne humeur et tout et tout) : "Azuro et le défi du Père Noël". (il faut cliquer et écouter).

 
La Muse, en 3 minutes chrono
 

jeudi 8 décembre 2016

A la rencontre de Danielle Martinigol

Lors du dernier Salon Fantasy en Beaujolais, édition jeunesse, La Muse s'est régalée avec les auteurs, illustrateurs ...

Elle vous a rapporté quelques interviews, et celle d'aujourd'hui sera (tadaaaa) celle de Danielle Martinigol.

Vous cliquez sur le lien (belle écoute).

 
 
Et tu remarqueras, cher lecteur, qu'à la fin de mes vidéos, tu peux voir apparaître à présent : le lien pour t'abonner, le lien vers le magnifique blog de La Muse, où tu te trouves actuellement, et le lien vers la dernière vidéo postée. Oui, je sais, je suis trop sympa !!!
 
La Muse,
la référence de vos plus belles chroniques
 

mardi 6 décembre 2016

A la rencontre de Roland Fuentès

La Muse ne le fait pas habituellement, mais aujourd'hui, c'est spécial, alors elle offre sa chronique.
Elle l'offre à un petit garçon, qu'elle connaît, qui venait avec sa maman à ses animations. Qui aime lire.
Ce petit garçon a malheureusement perdu sa maman hier. La Muse a beaucoup de peine. Alors, même s'il ne le voit pas, même si ce n'est qu'un petit geste, cette chronique lui est dédiée (et à sa maman également). Et La Muse a choisi Roland Fuentès, qu'il aimait particulièrement. Cette chronique est pour toi, Gabriel, et pour ta maman qui a rejoint les étoiles et ton papa. Je t'embrasse.

La Muse, triste


Pour écouter la chronique, il faut cliquer ici : La Muse à la découverte de Roland Fuentès


Roland Fuentès, c’est un peu le « papa » de La Muse. Si, si ! Explications : lors de mes premières interventions, lors d’un salon, il était présent en tant qu’auteur et je l’avais précédemment rencontré, avec plaisir.
Responsable de l’espace jeunesse, je théâtralisais des histoires (comme d’hab’) dont l’excellent « Monsieur Cabosse », que les enfants adorent. Je m’absente 5 minutes pour une petite pause, rencontre l’auteur et lui dit « Ah, j’ai lu Monsieur Cabosse aux enfants, ils ont adoré ». Que n’avais-je pas dit !!! Là, Roland me précise : « Ah, mais il ne faut pas hésiter à me faire venir, si cela ne vous gêne pas ». Ahhhh, mais ça, il ne fallait pas me le dire deux fois. Autant vous dire qu’avec les enfants, nous nous sommes fait (pendant deux jours) très plaisir en appelant l’auteur (Roland, Roland,Roland  !!!) qui, au début, est venu écouter son histoire, assis avec les enfants qui n’y croyaient pas (« t’as vu, c’est Roland comme celui qui est écrit sur le livre ») et qui l’a carrément racontée aux enfants lors de sa dernière venue. Un auteur très proche des enfants, ça, on n’aime pas, on adore !!!

Bref, Roland Fuentès écrit pour les petits, les moyens et les grands. Et qu’écrit-il ? Plein de livres ! Dont :

L’excellent « Monsieur Cabosse », déjà en comm’ sur le site de La Muse et puis des livres pour les plus grands : c’est ainsi qu’à partir de 6 ans, on peut lire « le tonneau volant » (l’oeil averti y trouvera une petite référence à M. Cabosse), mais aussi ‘l’arbre à chatouilles » et « au royaume des moustaches ». Des petits romans qui se lisent d’une traite. Dans les premiers romans, il y a aussi « un amour sur mesure ».

Et puis il y a les séries :
Dès 7 ans, les aventures de Tonton Zéro, romans, pas épais et très drôle. La Muse a bien ri avec :
  
Dès 10 ans, Gérald et son écrivain préféré, Christian Rivage avec « Un écrivain dans le jardin », et le dernier sorti « L’écrivain clémentine »

 
 
Roland Fuentès en collaboration avec Yaël Hassan, pour savoir bien écrire des histoires :  
 

Enfin, le dernier sorti, le livre qui fuit, également chroniqué par La Muse :



Voilà, Gabriel. Cette chronique est pour toi, et pour ta maman. Je t'embrasse.

dimanche 4 décembre 2016

Là-Haut de Thierry Ledru


Là-Haut de Thierry Ledru aux éditions AO André Odémard.
Pour écouter la chronique, il faut cliquer ici : Là-Haut de Thierry Ledru par La Muse en audio

J’ai reçu il y a fort longtemps un livre en service presse : « Là-Haut » de Thierry Ledru. Si j’ai mis tant de temps à le lire, c’est tout d’abord parce que je suis très en retard, mais aussi, parce que je voulais être dans les conditions optimales pour le faire. C’est le cas à présent, et je remercie l’auteur pour sa patience.

L’histoire ? C’est celle de Jean, guide, écrivain également, à qui tout réussi. Il est amoureux d’une très belle et douce femme, Blandine, ils vont à Paris pour un salon littéraire, tout est beau, Blandine est belle … et Jean va tout perdre !  

L’action se situe en 1995. Ils arrivent à la station Saint-Michel : l’attentat monstrueux. Blandine va mourir, Jean sera amputé, lui, le guide, l’amoureux de la montagne.

Malgré la douleur et les peines qui sont admirablement bien transcrites par l’auteur, ce livre est magnifique, car il porte l’espoir. C’est un long chemin vers la reconstruction, le dépassement, la résilience, même quand on croit avoir tout perdu. Thierry Ledru ou plutôt Jean, son héros, s’attachera à de nombreuses descriptions, qui permettront au lecteur de se fondre dans l’histoire, de prendre le temps de sa reconstruction. Jean devient « lui », devient « il ».

« Il avait fini de grandir sans son père. Il lui restait à vieillir sans Blandine ».

Cette reconstruction ne se fera pas sans heurts, sans peine, sans dégoût, sans solitude. L’homme sera seul, avec ses souffrances, le blanc, la montagne qu’il aime tant.

L’auteur va admirablement expliquer le milieu hospitalier, la prise en charge, l’urgence, le sentiment d’abandon, les douleurs, physiques, bien évidemment, mais également psychologiques vécues par Jean.

« Vous ne savez rien de mes douleurs ».

Finalement, il ne sera pas seul. Il va redécouvrir plein de merveilleuses choses, que nous oublions de regarder, alors qu’elles sont si belles.

Etrangement, il va renouer des liens, lui qui se sentait et qui se voulait exclu d’un monde qui ne le comprenait plus.

« Les liens sociaux ne seraient-ils qu’une interdiction d’être soi-même ? »

« Là-Haut » de Thierry Ledru a été sélectionné pour le prix Handi-livres 2016. La décision aura lieu ce lundi 5 décembre. On croise les doigts pour l’auteur, car il a remarquablement détaillé la souffrance d’une personne en situation de handicap, qu’elle soit physique ou psychologique, et sa reconstruction, longue et difficile, sans oublier les innombrables parcours de solitudes, passages obligés mais si douloureux.

« Là-Haut » est un roman porteur d’espoir, qui devrait être mis entre toutes les mains, car il permet une perception plus juste et surtout plus réelle du monde qui nous entoure.
« Il va falloir penser à tout ce qui lui reste et beaucoup moins à ce qu’il a perdu. Il ne s’agit pas d’oublier, bien sûr, mais de s’efforcer de construire au lieu de déblayer des ruines ».

Le Fonds Handicap & Société par Intégrance a lancé son appel à candidature en mars dernier pour le Prix Handi-Livres 2016. Parrainé depuis sa création par Robert Hossein, le prix est devenu une référence dans son domaine. Près de 115 ouvrages ont été présentés en 2016 pour participer au prix littéraire.

Le Prix Handi-Livres a pour but d’encourager les auteurs et de mettre en lumière des personnes handicapées ou des ouvrages traitant du handicap. (source : http://www.fondshs.fr/le-prix-handi-livres/PHL-2016-preselection)
"Là-Haut" un roman de Thierry Ledru a été sélectionné pour le prix Handi-livres. On en saura plus, ce lundi 5 décembre. Dans tous les cas, je vous conseille fortement sa lecture.


La Muse, bouleversée



samedi 3 décembre 2016

Rencontre avec Claudine Delhio

Ah, si La Muse n'existait pas, il faudrait tout simplement l'inventer.

Mais sans vous, chers auteurs, comment ferait-elle ?
C'est ainsi que Claudine Delhio, à qui j'avais précédemment acheté son premier livre, s'est déplacée pour me dire un bonjour adorable.

Merci, Claudine, j'ai apprécié ta gentillesse.

Et puisque c'est comme ça, voici pour vous, amis lecteurs, l'interview de Claudine, qui vous présente son deuxième opus, toujours avec Les passionnés de bouquins :


Il suffit de cliquer et de savourer.

A la fin de la vidéo (je m'améliore de plus en plus), la précédente vidéo postée (que vous pourrez voir en cliquant, simple, non ?), mais aussi, une possibilité de s'abonner à la chaîne YouTube de La Muse, et de rejoindre le blog. Tout ça pour vous, parce que je suis ... La Muse ;)

Elle n'est pas belle, la vie ???

Bisous, câlins et tout et tout.

La Muse

vendredi 2 décembre 2016

Pierre Crooks Editions Baliverne

C'était le 12 et le 13 novembre dernier. La Muse s'est régalée (il n'y a pas d'autres termes) au Salon Fantasy en Beaujolais, édition jeunesse.

Et elle a interviewé plein de monde. Alors, aujourd'hui, cadeau, parce que je suis une fille hyper sympa (si, si), voici Pierre Crooks, des Editions Balivernes.

Il faut cliquer sur l'image pour écouter Pierre (désolée pour le bruit ambiant).

Bon, sinon, youpi, youpl'a, j'ai acheté ce jour deux petits bouquins pour la jeunesse : "petit renard" de Nicolas Gouny, un magnifique ouvrage, tant par le texte que par le dessin, qui n'est pas tout à fait un dessin ... on en reparle très vite et puis "Une maison à hanter"  de Morgane de Cadier et Florian Pigé, un très, très beau conte avec un petit fantôme super sympa, qui recherche SA maison à hanter (on en reparle aussi très vite).

Que dire d'autre ? Si vous rencontrez Pierre, arrêtez-vous, discutez avec lui. Il est super sympa et a plein de très beaux livres pour la jeunesse. (Balivernes sera au salon de Montreuil).

Et comme je suis une Muse super sympa (et très modeste), ami lecteur, je te signale que si tu cliques sur les noms, tu es redirigé sur la page FB de la personne concernée (je suis trop bien, non ?).

Allez, belle écoute et à très vite !!!

La Muse, ravie

jeudi 1 décembre 2016

"1749 Miles" de Fabienne Blanchut

5, 4, 3, 2, 1 …. 0  !!!!

pour écouter la chronique, c'est ici qu'il faut cliquer :

C’est très impressionnant !
Je viens de terminer le roman « 1749 Miles » de Fabienne Blanchut.
Fabienne Blanchut est une auteure jeunesse très connue, puisqu’elle a publié plus de 80 livres jeunesse. Elle publie, avec "1749 Miles", son premier roman.

Premier roman … que je termine … en état d’apesanteur. Il est magnifique.
C’est un roman pour les ados, qui plaira aussi bien aux adultes (ados à partir de 9 ans, bons lecteurs).

Quand on voit la couverture, on se dit, bien évidemment, c’est certainement un sujet sur la conquête spatiale : il y a un singe, sur la couverture, et les "moins jeunes" se souviendront de Laïka (la chienne russe), et du singe envoyé par les américains, dans l’espace. Mais, est-ce que c’est cela ? Et que veut dire 1749 Miles ? Je vous avoue franchement que j’ai cherché ! Un miles = 1,609 km (de mémoire), c’est quoi ? C’est quoi, cette distance ? Ce n’est pas la distance de la terre à la lune, ce n’est pas possible. Mais c’est quoi, alors ? C’est la distance effectuée lorsqu’on a envoyé le premier singe dans l’espace ? Mais ce n’est pas possible, ce n’était pas ça … pas 1749 Miles. Et pourquoi en faire un titre ? C’est quoi ? Qu’est-ce que c’est que cette distance ?

Je vous avoue qu’on le sait, à la fin, et quand on le découvre, on se dit : « oui, c’est important, en effet, puisque cette distance va être importante, c’est un retour ». Mais, quand on est dans l’intrigue du livre, on oublie complètement ces 1749 Miles, et on se prend au jeu.

Et ce n’est pas qu’un livre, qu’un roman, extraordinairement bien écrit par Fabienne Blanchut, qui nous laisse songeurs, rêveurs, la tête dans les étoiles. Je n’ai pas aluni, mais je n’ai pas encore atterri. Je suis encore dedans, là, je suis encore sur ma planète.

C’est aussi un roman historique, qui commence en 1957, pour arriver de nos jours ou presque. Avec des personnages, des vrais. Ce qu’on appelle une docu-fiction. C’est quand même épatant, et j’en reviens à recouper ce roman, ces thèmes, rien n’est fait par hasard, n’est-ce pas, Fabienne, elle l’explique bien dans son livre, on le comprend bien : il y a toujours des petits hasards, des petites rencontres, qui deviendront des grandes rencontres. Toujours des amis qui sont des vrais amis, toujours des gens qu’on rencontrera qui nous aideront, ou pas.

Ce n’est pas un hasard si j’ai commencé ce roman au moment où la série, magnifique de Ron Howard, « Mars », docu fiction, a été présentée sur les chaines du satellite. Ce n’est pas un hasard si nous venions de regarder, en famille, le départ de Thomas Pesquet vers l’ISS.  Mars, c’est un docu-fiction, avec une part de roman en 2033, et une part d’interviews, véridiques, en 2016 et même avant. Le livre de Fabienne Blanchut n’est pas un hasard. C’est pareil. C’est un peu un roman docu-fiction, que nous a fait, que nous a réalisé, que nous a concocté Fabienne Blanchut.
A un moment, on ne sait même plus si tout cela est vrai ou pas, si cela sort de l’imagination de l’auteure ou si c’est vraiment vrai. Vous voyez ? A un moment, on ne sait plus. Même moi, qui suis tout cela (je suis vraiment très très fan de la conquête spatiale, je le suis toujours), je ne savais plus, si, à la fin, c’était vrai pour de vrai ou si certaines choses sortaient de l’imagination de l’auteure.

Ce qui est très très bien, c’est qu’à la fin du livre, on a une annexe : « ce qui est vrai », « les personnages qui existent ou qui ont existé », etc. On peut faire des recherches, je vous assure que j’étais là, en plein milieu du livre, à vouloir faire mes recherches, pour vous dire à quel point c’est bien écrit ! Parce qu’un docu-fiction est bien écrit, bien réalisé à partir du moment où on est transportés. Et pour quelqu’un qui s’y connaît, alors, je ne suis pas spécialiste non plus (je ne travaille pas à la NASA, quoique, s’ils veulent m’embaucher J ), mais je suis assez pointue sur beaucoup de choses ayant trait à la conquête spatiale ; je me suis beaucoup intéressée à la conquête spatiale et je m’y intéresse toujours, c’est aussi pour cela que je suis l’aventure « Mars » (et bien évidemment Thomas Pesquet et l’ISS). Je peux vous dire que Fabienne a carrément rempli son rôle de « grande prêtresse du docu-fiction », puisque j’appelle ce livre ainsi. Ce n’est plus un roman. C’est un roman docu-fiction, où de vrais personnages vont entrer en scène, et à un moment, on ne va plus savoir, on ne va pas savoir. Et c’est là que c’est génial, que le roman prend forme.
Vous allez me dire : oui mais bon, un docu-fiction, et puis 1957 c’était pendant la guerre des Dinosaures ;) … Mais non, ce n’est pas que cela ! Vous allez revivre plein d’évènements, réfléchir au côté historique des choses, vous intéresser, il n’y a pas QUE la conquête spatiale ! Bien sûr, cela en fait partie, mais il n’y a pas que cela.

En fait, finalement, on en parle, mais on parle de beaucoup d’autres choses. Il y a plein d’autres choses qui sont merveilleuses dans ce livre, dont notamment l’amitié, la vraie, la seule, celle que vous découvrirez un jour, l’ami que vous avez et que vous n’oublierez jamais. Et que vous irez rechercher. Et vous verrez, cet ami, il est spécial, ce n’est pas n’importe qui. Et on lui rend hommage. Et là, franchement, Fabienne, le rôle est vraiment très bien trouvé.
Il y a l’amour aussi. L’amour, des jeunes, mais aussi, celui quand on vieillit. Le bel amour, celui, simplement quand on décroche un téléphone et on sait que … Celui que tant de gens aimeraient vivre jusqu’à la fin, vieillir auprès de son amour, merveilleux, sincère, qui dure, comme peu de personnes savent le vivre, mais qui est tellement beau. Je pense le connaître, et franchement, je crois que Fabienne l’a également très bien retranscrit, et il est magnifique.
Il y a l’amour de jeunesse, aussi. L’amour de jeunesse et les différences. Et franchement, dans ce livre, vous allez vous régaler. Parce que si vous mettez des dates, vous allez vite vous rendre compte que certaines différences « ne se faisaient pas » mais qu’elles ont réussi à dépasser tous les évènements, toutes les choses … c’est vraiment très très beau, très bien fait, magnifique.

Il y a les rencontres, et il y a … la surprise ! Et les 1749 Miles ! Que sont ces 1749 Miles ? Je ne vous le dirai pas, il faut que vous le découvriez. Vous verrez. Vous allez arriver à un certain moment du livre, dépasser la moitié, même vraiment c’est vers la fin qu’on comprend ce que sont ces 1749 Miles, mais cela ne dérange absolument pas. On en parle au début, de suite, et après, on ne sait plus, et on oublie un peu. On est tellement plongé dans le roman, dans l’intrigue, dans ce que veut nous rendre Fabienne qu’on oublie ces 1749 Miles. Et quand on les retrouve vers la fin, on se dit « tiens, ah, ok, c’est ça. Ce n’est pas seulement une distance, c’est ça ». Les 1749 Miles, ce n’est pas seulement une distance, c’est aussi de l’amour, de l’amitié, c’est aussi tout ce qui fait que les êtres humains vivent ensemble et sont profondément attachés l’un à l’autre. C’est aussi tout ce qui fait la beauté de notre Monde, tout ce qui fait la beauté de l’Univers.
Ces 1749 Miles sont aussi plein de questions … et des réponses. Et un hommage. Ces 1749 Miles, ce n’est pas qu’une distance … C’est un honneur.

Vous tomberez également sur la surprise finale. Parce que moi, quand je suis arrivée aux 1749 Miles, quand j’ai compris, … je suis arrivée à plein de petites surprises, étonnantes, vraies pour certaines, docu-fictions pour d’autres, en tous les cas, épatantes, drôles, chatoyantes, colorées, pleines d’humour et pleines d’entrain, qui se lisent vraiment très très bien.

Ce roman se lit vraiment très bien, il est porteur d’espoirs, je le trouve parfait. C’est la première fois que j’en lis un comme celui-ci. Parce que je n’ai pas lu de romans pour la jeunesse qui soient des docu-fictions et qui se projettent avec un côté historique ainsi, en réalisant un docu-fiction sur l’amitié, les différences, la conquête spatiale, et puis, … cette fameuse surprise finale. Que je vous laisse deviner, et vous allez du coup, vous accrocher à tous les mots du texte… Les plus jeunes trouveront peut-être plus difficilement, les habitudes aidant … Mais du coup, cela aidera peut-être à renouer avec le fait de voir les choses pour de vrai, de les apprécier. Et vous verrez, rien ne se fait par hasard : les rencontres, les choses, l’amour, l’amitié, la vie, la ligne du temps ….

"1749 Miles", c’est un fabuleux roman jeunesse à lire dès 9 ans pour les bons lecteurs et aussi pour les adultes. N’hésitez pas : vous êtes fan de la conquête spatiale, allez-y, vous n’êtes pas fan ? Vous apprendrez plein de choses, vous êtes fan d’histoire ? Allez-y, vous n’êtes pas fan ? Vous ré-apprendrez plein de choses, vous aimez les docu-fictions ? Foncez, vous aimez l’amitié, vous aimez les découvertes, les surprises ? Il y a tout dedans.

C’est comme si on avait mis ces ingrédients dans une grosse marmite, et que l’on ait tout mélangé. C’est comme s’il ne restait plus que nous sur Terre, et qu’on se dise « et si on revenait à l’essentiel ? Si on regardait un petit peu tout ce qui s’est passé ? ».

Vous allez voir, franchement, vous allez vous régaler, je suis encore en état d’apesanteur, je l’ai terminé il y a plus d’une heure, j’ai félicité l’auteure, je ne lui ai pas dit tout ce que je suis en train de vous dire, elle va le découvrir en même temps que vous, je l’ai simplement félicitée, et je suis encore en état d’apesanteur, parce que ce roman, franchement, est un excellent roman, qui place la personne qui le lira en état d’apesanteur, même quand elle l’aura terminé.

Très très beau roman sur l’amitié, les amours, la différence, le partage, la conquête spatiale bien sûr, l’histoire, une docu-fiction magnifique.
Je pense que quand vous l’aurez fini, vous serez comme moi, vous n’aurez pas encore atterris, vous voudrez rester encore un petit peu, en état d’apesanteur.

Vraiment, je remercie Fabienne Blanchut et les Editions « De plaines en vallées » pour ce magnifique SP que La Muse a eu le privilège de lire avant sa sortie en librairie, puisqu’il sortira le 9 décembre. Fabienne est en dédicace le 10 décembre à la librairie du Théâtre, à Bourg, n’hésitez pas, foncez. C’est vraiment une très belle rencontre.

"1749 Miles" est vraiment un livre jeunesse que je conseille, même à ceux qui ne sont pas passionnés, parce qu’après, ils le deviendront, et comme moi, vous resterez en état d’apesanteur.  
"1749 Miles" de Fabienne Blanchut, aux Editions "De plaines en vallées" en librairie à partir du 9 décembre 2016.