Breaking News : David Zaoui, auteur de "Je suis un tueur humaniste", précédemment chroniqué par votre Muse préférée, est lauréat du festival du premier roman de Chambéry !!
Waouuuu !!! Bravo à lui.
Plus de détails (et pour le rencontrer, il y sera présent du 24 au 27 mai 2018), en cliquant sur ce lien : David Zaoui, lauréat !
Pour relire la chronique, c'est ci-dessous :
Je suis un tueur Humaniste. David Zaoui. Editions Paul & Mike.
« Je suis un tueur humaniste» est le premier roman de David Zaoui.
Et je vous avoue que quand je l’ai découvert, j’ai eu un
doute, vite relevé d’une grande curiosité : Et oui, nous sommes bien
d’accord, pour avoir lu de nombreux livres et visionné nombre de films sur le sujet et sauf erreur de
compréhension, les mots « tueur » et « humaniste » ne vont
pas ensemble (on est bien d'accord). Ou alors, il y a quelque chose qu’on ne m’a pas dit.
Alors, en bonne Muse qui se respecte, j’ai lu le livre de
David Zaoui. Et je n’ai pas été déçue.
L’histoire ? C’est celle de Babinsky. Il n’a pas
d’autre état civil. Il est doué, très doué. Mais doué en quoi ? En tir,
c’est le meilleur, et c’est d’ailleurs comme cela qu’il va se faire repérer, remarquer et … engager.
Il s’appelle Babinsky. Retenez bien ce nom, c’est celui du
héros. C'est un tueur. Tueur, oui, mais humaniste.
Alors, vous allez me dire ? Mais
comment peut-on concilier les deux ? Grâce aux "contrats" qu'on lui propose et surtout, surtout, à sa "marque de fabrique". En effet, le héros, qui a été repêché par son mentor, fera en
sorte de rendre les gens heu-reux (attention, le vrai bonheur, pas un petit
bonheur qui passe par là), et de s’en assurer avant qu’ils ne quittent ce
monde.
C’est un héros qui ne dort pas, qui se pose des questions
(oui, quand on ne dort pas, on a le temps de réfléchir), et qui, on le
découvrira au fur et à mesure de l’intrigue, cherche également le bonheur.
Le trouvera-t-il ? Ou sera-t-il la proie d’un autre
tueur ? Ca, c’est à vous de le découvrir.
Ce que La Muse en pense :
Comme je l’ai noté au début, j’ai souhaité lire le livre car
le titre était très intrigant. La couverture également. Et David Zaoui a réussi
son pari. Son livre est agréable à lire, il n’y a pas de cruauté (bon, des gens
meurent on l’aura compris, mais attention, on est bien d'accord, cela reste un roman) et finalement, le lecteur s’attache à Babinsky en espérant qu’il trouve une meilleure
voie et qu'il apprenne également des autres.
Ce roman se lit d'une traite avec grand plaisir.
La forme du roman permet à l'auteur de rendre son héros très attachant, malgré certains écarts de langage, totalement réalistes vis-à-vis des protagonistes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire