J'ai reçu un super Service Presse, et j'espère vous donner envie de lire et faire lire ce magnifique ouvrage :
La plume de Roland Fuentes est toujours aussi épatante. Bravo l’artiste ! La façon dont l’auteur
a d’emmener le lecteur vers l’intrigue et tout bonnement extraordinaire. La
description des paysages est splendide, on a l’impression d'être sur place.
L’histoire :
C’est l’histoire de deux garçons qui courent, l’un poursuit
l’autre, un couteau en main, à la vie, à la mort ! Mais, et s’il meure, qui
va vraiment mourir ? Cette histoire est celle, au travers de cette course
poursuite, d’un groupe d’adolescents, partis pour réviser, ensemble. Un jeune,
parfait sous tous les plans, va intégrer leur groupe, et le séjour va virer au cauchemar. Que va-t-il se passer ?
4ème de couverture : Sept étudiants
passent leurs vacances ensemble.
L'un d'eux invite un nouvel ami, inconnu du groupe, Elias, qui cristallise
aussitôt tous les regards.
Nul n'aurait pu prévoir que le séjour entre potes qui s'annonçait si bien -
sport, révisions, détente- tournerait en un combat à la vie, à la mort. À moins
que la haine de « l'autre » n'ait été là, en germe, dès le premier
instant.
Un roman qui nous happe, au rythme d'une course-poursuite effrénée.
Brillant et nécessaire.
Ce que la muse en
pense : un grand bravo à Roland Fuentes. J’ai adoré ce roman lu en
une seule journée, Ou plutôt dévoré. La façon dont l’auteur a magnifiquement
segmenté ses chapitres, soit la course poursuite, soit l’histoire en
flash-backs, tout cela vu des différents protagonistes, est tout simplement
parfaite (oui, oui, et je pèse mes mots, croyez-moi).
Le choix judicieux de plusieurs narrateurs permet justement au lecteur
de mieux comprendre et surtout, ce qui est important dans un roman ado, que le lecteur ne s’identifie pas à l’un des personnages, et puisse obtenir des éléments de
réflexions.
L’histoire est magnifiquement ciselée. Quant à la fin, elle
est sans appel. Elle prend aux tripes. Elle est magnifique, merveilleuse, extraordinaire…
je vous la laisserai découvrir.
En conclusion, Je dirais : bravo, Roland Fuentes, pour
ce magnifique roman, Tant dans l’histoire que dans la construction. Du grand
Art que je supra-conseille et qui ouvrira certainement de nombreux débats en
classe ou ailleurs.
Note : Le livre commence par ces phrases si
solidaires et tellement belles : « Il n’y a pas d’étrangers sur cette
Terre » est un slogan de la Cimade, association de solidarité active avec
les personnes migrantes, réfugiées et demandeuses d’asile. Pour découvrir leurs
actions, agir ou faire un don : www.lacimade.org
La Muse, époustouflée ! |
Cette chronique a été réalisée dans le cadre d'un Service Presse.
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